Re: [En cours] Alectos [TERA]
Publié : 30 oct. 2013, 19:26
Je me souviens être allé tôt le matin à la sécu' pour éviter les files de cas sociaux l'aprem et régler un truc avec ma carte. Sauf que 9h ça faisait un moment que je m'étais pas levé pour cette heure du coup je me suis carrément endormi sur le banc.
Le truc qui m'a réveillé, 30min plus tard, c'est le brusque soulèvement du banc (et moi avec) dû à la femme d'une certaine "épaisseur" qui s'était assise juste à côté de moi.
Du coup j'ai repris un ticket.
Hum mollusque... Question piège ? Alors se lever le matin (je laisse le reste à votre imagination
)
Alors pour faire simple, j'imagine que tu vois où c'est Angoulême. Maintenant plus profond, Genac si tu vois où c'est. Et encore plus profond, très loin au milieu des champs, t'as un lieu-dit avec autant de moutons que d’habitants.
C'est possible, on m'avait forcé à faire des cours de latin et la vieille prof que j'avais adorait nous faire voir des vieux films de gladiateurs. Avec les muscles luisants et les monstres qui tiennent par des ficelles. Un trauma d'enfance peut-être (une phrase d'ailleurs m'avait marqué psychologiquement : "et il jeta le sexe sanglant dans la mer", affreux quand on entre dans l’adolescence).
J'aime pas le Cognac. Oui je sais je suis un blasphème à moi tout seul dans un coin où même les voitures carburent au Cognac.
Le truc qui m'a réveillé, 30min plus tard, c'est le brusque soulèvement du banc (et moi avec) dû à la femme d'une certaine "épaisseur" qui s'était assise juste à côté de moi.
Du coup j'ai repris un ticket.
Hum mollusque... Question piège ? Alors se lever le matin (je laisse le reste à votre imagination

Alors pour faire simple, j'imagine que tu vois où c'est Angoulême. Maintenant plus profond, Genac si tu vois où c'est. Et encore plus profond, très loin au milieu des champs, t'as un lieu-dit avec autant de moutons que d’habitants.
C'est possible, on m'avait forcé à faire des cours de latin et la vieille prof que j'avais adorait nous faire voir des vieux films de gladiateurs. Avec les muscles luisants et les monstres qui tiennent par des ficelles. Un trauma d'enfance peut-être (une phrase d'ailleurs m'avait marqué psychologiquement : "et il jeta le sexe sanglant dans la mer", affreux quand on entre dans l’adolescence).
J'aime pas le Cognac. Oui je sais je suis un blasphème à moi tout seul dans un coin où même les voitures carburent au Cognac.
