Salut Totof!
Alors déjà, je te remercie beaucoup de ta franchise et comprends parfaitement ton point de vue. Je tiens aussi à préciser que même si ma soeur de 16 ans fait déjà partie de votre guilde, je ne tiens pas du tout mon acceptation pour acquise et je trouve normal que dans une guilde où l'âge minimal est de 18 ans, elle porte à débat.
C'est pourquoi j'ai décidé de faire une vraie candidature plutôt qu'une simple présentation, ce qui aurait été un peu paresseux
C'est peut-être (sans doute) prétentieux de ma part de me prétendre assez mature pour entrer chez vous, étant donné que de ce que j'ai compris la moyenne d'âge tourne autour des 30 ans.
J'en ai parlé un peu dans ma candidature, mais l'année dernière, j'ai participé à un Jeu de rôle grandeur nature. Dans ce type d’événement, comme ici on trouve en immense majorité des joueurs adultes. Les gens, en plus de mes coéquipiers, avec qui j'ai passé le plus de temps avait entre 30 et 50 ans. Et ça s'est passé fantastiquement bien, dans les moments hors-jeu comme en jeu.
Après, ça veut peut-être pas dire grand chose, à vous de juger entre vous o/
Voilà c'était pour la partie sérieuse, retour aux questions
Kezako les majorités ? Règles d'usage et règles de droit.
Etant donné que je ne suis qu'une jeune pomme de 16 ans, comme tous les jeunes de mon âge, je me fous royalement des cours et surtout de l'éducation civique. Franchement je vois pas en quoi apprendre être une citoyenne responsable pourrait avoir quelconque impact positif sur ma vie d'adulte. Comme l'a dit notre prophète Kev Adams
"kom osef du lissé sa pu la maird lol, on a tro de talan alor osef" Je passe donc mon temps à fumer des substances illicites et à brûler des camionnettes de marchands de glace. Alors les majorités...

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Dérider un vieil ours, challenge, corvée, ou osef ?
Je vis ma vie dangereusement voyez-vous. Comme le prouve l'intégralité de cette candid' je n'ai pas peur du ridicule, à raison ou à tort. Le ciel m'a donné un humour... ravageur, qui a provoqué tantôt une admiration sans borne tantôt la jalousie maladive. Donc dérider un vieil ours n'est pas vraiment un challenge, dans la mesure où je suis, on peut le dire, infiniment drôle.
Voici d'ailleurs une autre blague de qualité pour dérider les vieux ours que vous êtes.
Qu'est-ce qui est pire qu'un ver dans une pomme?
Un génocide.
C'est tout pour moi, merci.
Jamais 203 : le chocolat c'est la vie mais quid des krowkis ?
Il est vrai que, si le chocolat reste maître de mon esprit et de mon coeur, compagnon de joie et d'infortune, exception est faite à ce que Charles Darwin a appelé la famille des
caramélifères, qui méritent une certaine considération. Elle comprend les préparations à base de sucre et de lait/crème, donc les krowkis et autres fudge. Même si la reconnaissance cette classification a porté à controverse par le passé notamment avec des émeutes ayant causé des millions de mort, je pense qu'aujourd'hui on peut affirmer sans crainte que les krowkis, c'est plutôt bon.
Si tu avais un pouvoir de super héro, ça serait quoi ?
Sans hésitation l'invisibilité. Je pense que c'est le super pouvoir le plus utile. Je l'utiliserai pour faire régner la justice (notamment concernant les majorités, une cause qui m'est chère) et protéger la veuve et l'orphelin.
Non je déconne, pour bouffer gratos, me balader à poil et cacher ma sale face.
si tu devais faire combattre 2 trucs mignon, disons par exemple un poney (ouai ceux avec des couleurs chelou) et un RBUK (tu dois savoir ce que c'est, sinon c'est refus direct). Que ce passerait il?
« Ce jour-là, des nuages sombres couvraient le ciel.
Ce jour-là, la Terre s'était tue dans un silence de mort.
- Toujours décidé à te faire botter ta jolie petite croupe rebondie? lança le Rainbow Butterfly Unicorn Kitten en déployant crânement ses ailes majestueuses sous le regard méprisant du poney rose.
Ce dernier secoua sa crinière dans un mouvement rageur, sans répondre à la provocation.
- Je prends ça pour un oui mon canasson !
Sur ces mots, il abaissa sa corne et bondit . Le poney éclata d'un hennissement hystérique tout en chargeant le chaton. Toutefois, le félin, d'un battement gracieux d'aile, s'éleva dans les airs avant que les deux aient put entrer en contact. Son adversaire freina violemment, ses sabots roses soulevant un nuage de poussière. Ivre de rage, ses naseaux fumant, il chercha le RBUK du regard, mais il était déjà trop tard. Un éclair de fourrure arc-en-ciel. Puis la douleur au garrot. Le sang chaud. Ses pattes commencèrent à ployer sous son poids. La chute, lente, articulation après articulation, muscle après muscle. Hébété, il sentit à peine la corne pailletée se retirer de ses chairs meurtries.
Le RBUK s'écarta à reculons, horrifié. Des gouttes écarlates lui coulaient dans les yeux et sur le museau. Il fut secoué d'un spasme nauséeux en prenant conscience du goût métallique sur sa petite langue rapeuse. Que venait-t-il de se passer ? Son esprit embrumé refusa d'abord d'accepter ce que lui criaient ses sens. Puis, terribles, inneffaçables, ces mots se formèrent dans sa conscience : « Il est mort. C'est moi. Je l'ai tué. »
Il restait en réalité une dernière étincelle de vie dans le corps de son ancien ami. Il ouvrit péniblement les paupières. Le RBUK, rempli de l'espoir fou de celui qui a peur, plongea ses yeux dans les siens.
- Rainbow Butterfly Unicorn Kitten…Je comprends maint… maintenant... C'était mon destin… L'un… L'un de nous devait périr et… Je suis heureux que ce soit… moi…, souffla-t-il, avant de s'éteindre à tout jamais.
Le chaton miaula misérablement.Les larmes se mêlaient désormais au sang.
Dans le ciel, les nuages avaient disparu.»